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Tout est question de point de vue

11 mars 2009

Confessions

Bonjour princesse

J
e reviens ici pour écrire ce que j'ai sur le coeur

L
es ennuis, les pensées comme les bonheurs

Je souhaite vider mon sac sur mon psent

Partager avec toi ce qui devient de plus en plus pressent.

En ce qui concerne les ennuis ils sont les mêmes

Que ceux dont je te parle déjà ma main dans la tienne,

I
l y a ma mère et son comportement prile

Comme si jamais elle n'avait mûrit se fiant à son idylle

De vie, mais rien n'y fait elle reste celle que je hais.

Je sais que tu detestes quand je dis ca oui mais

C'est un fait ma puce je ne supporte plus d'être ici

Je ne supporte plus de feindre d'avoir ses envies.

Elle qui se dit avoir des valeurs et agir au mieux

Une chose est sûre c'est que l'argent est son dieu.

Je desteste certains de mes comportements

Q
ue j'ai acquis à ses côs tout ce temps,

Je deteste certaines de mes réactions

Inserées dans mes veines par mon éducation.

En ce qui concerne mes penes je ne saurais quoi te dire

D'autre que j'ai envie de partir

Envie de penser à autre chose que sa personne

Besoin de changer cette vie dans sa maldonne

M
ais je sais que la solution est mon compte en banque

Bien qu'il faille mettre ma fierté en planque

P
our ne plusagir et l'envoyer chier

Po
ur que les choses puissent enfin s'appaiser.

I
l y a enfin les bonheurs dont je souhaite te faire part,

Qu
'il s'agisse de tes mains, ton coeur ou ton regard,

Je ne saurais dire le quel me donne le plus de joie

Car je sais que mon plus grand bonheur, c'est toi.

No
us formons des rêves un peu plus chaque jour

C
omme si jamais je ne pouvais perdre ton amour

Mais au fond l'essentiel n'est que de profiter de ce que l'on a

Avant que le temps risque quoi que ce soit.

Ce
n'est pas un texte dans la forme

Pa
s un poème avec ses nombreuses normes

Ma
is je voulais juste t'écrire tout cela

M
e mettre à nu ce soir devant toi.


Je t'aime

SP_A0245

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16 février 2009

François, duc de la Rochefoucault

Les défauts de l’âme sont comme les blessures du corps:

quelque soin qu’on prenne de les guérir, la cicatrice paraît toujours,

et elles sont à tout moment en danger de se rouvrir

2 février 2009

Si quelque chose tournait mal

L'heure de mon départ est venue, pardonne moi de cet affront
Je bénits le jour où je t'ai connue, ce jour est une bénédiction
Mon équipe est au garde à vous, le terrain nous attends
Je penserais chaque jour à nous, à toi et notre futur enfant.
Pardonne moi de ce départ au combat, jamais je ne l'aurais souhaité
Mais à la force de nos bras, mes soldats et moi sauront l'emporter.
Ne haïs pas la nation ennemie, tout est histoire de dirigeants
Ils sont comme nous des pions sans vie, des visages perdus dans le néant.
Malgré tout je souhaiterais une chose, c'est un voeux d'avant départ
Au sujet de notre petite rose, protège la du désespoir

Car si quelque chose tournait mal
N'oublie jamais de vous rappeler
Que ni obus, ni balles
Ne m'empêcheront de vous aimer

Deuxième mois que je suis là, les nuages sifflent la douleur
L'humanité est sans voix, devant les hurlements de peur
Je te rassure mon ange je vais bien, j'ai toujours la force d'écrire
Et j'ai chaque jour dans ma main, la photo de ton si beau sourire
Mon équipe est au complet, mais la honte pèse sur nos têtes
Chaque instant devient plus laid, sous nos comportements de bêtes.
Pardonne moi encore d'être ici, loin de toi et notre jeune fleur
Mais si la distance nous maudit, sache que tu ornes mon coeur
Je voudrais de plus te demander, de ma tranchée noire et boueuse
Au sujet de notre enfant nouveau né, de lui permettre d'être heureuse

Car si quelque chose tournait mal
N'oublie jamais de vous rappeler
Que ni obus, ni balles
Ne m'empêcheront de vous aimer

Ces derniers vers sont d'un soldat, mais aussi de l'épaule de votre mari
C'est soufflés en plein coeur d'un combat, que ces mots j'ai appris
Je suis un compagnon de votre amour, un ami qui prend sa plume
Sous sa demande dans les bruits sourds, le chaos, les cendres et la brume.
Pendant les nuits calmes il me parlait, d'un jour qu'il a tant béni
Celui où vous vous êtes rencontrés, ce jour le mènera au paradis.
Pardonnez moi madame, de cette strophe improvisée
Mais votre mari couvert de larmes, m'a prié de vous dicter
Qu'il souhaitait une chose de tout coeur, au nom de votre amour
Que votre enfant, votre bonheur, soit heureux pour toujours.

Car si quelque chose a tourné mal
N'oubliez jamais de vous rappeler
Que ni obus, ni balles
Ne l'empêcheront de vous aimer

Dernier_souffle

1 février 2009

Tout est histoire de pognon (accrostiche)

Tout est simple dans notre société

Où l'argent règne en maïtre

Une plaie qui su nous contrôler

Tranquillement, sans jamais disparaître

Ecoutons son cri, son chant

Si beau, si merveilleux

Trop tristement enchantant

Herculéen, béni des dieux.

Ignorons nous l'essentiel de la vie

Sous nos cartes de consommateurs

Triste preuve du mépris

Oracle annonciateur.

Ignorons nous la beauté naturelle

Réelle et non fabriquée

Evanouie desormais dans le ciel

D
ecapie par nos avions et autres progrès

Ecoutons le hurlement de la monnaie

Preuve de notre dependance

Oracle annoncant le laid

Gagné par l'argent et sa dance

Non, nous ne sommes plus libres ici

O
ù la pub et les shows dirigent

Nous ne sommes que les pions du roi de la vie

Calque_2

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